Pour les apprentis conducteurs, passer l’examen pratique avec une auto-école agréée offre  de nombreux avantages concernant, par exemple, les formalités administratives, le délai  avant l’examen et les chances de réussite à celui-ci.

La préparation

Au cours d’une formation au sein d’une école de conduite, votre moniteur ou monitrice a le rôle de vous indiquer le moment où il pense que vous êtes prêt pour réussir l’examen pratique. Ce professionnel doit également vous signaler les points sensibles qu’il reste à travailler et fixer, avec vous, des heures de cours afin de vous entraîner. En effet, les moniteurs sont formés à la détection et à la correction de vos points faibles. De plus, en étant coutumiers du déroulement des examens, ils peuvent vous informer et vous entraîner au mieux à celui-ci comme, par exemple, en vous proposant de parcourir avec lui tous les parcours d’examen possibles.

Les formalités administratives

L’école de conduite se chargera également de toutes les procédures administratives quant à votre présentation à l’épreuve pratique, ceci allant de la prise de rendez-vous à la vérification de la voiture utilisée pendant l’épreuve. En passant par une auto-école, vous avez également la chance d’obtenir un délai beaucoup plus court avant l’examen.

Ainsi, vous pourrez vous concentrer entièrement à votre formation de conduite, améliorer vos acquis et gagner de l’assurance au volant pour être prêt le jour J.

L’accompagnement à l’examen pratique

La formation à la conduite ayant été faite avec la voiture de l’auto-école, il est préférable de passer l’examen avec cette même voiture. En effet, chaque voiture est différente et cela nécessite un certain temps d’adaptation lorsque l’on en change. La voiture de l’auto-école est en plus munie de double commandes, ce qui met l’examinateur plus en confiance dès le commencement de l’épreuve. Pendant ce grand jour, votre moniteur vous suit également pour que vous soyez rassuré et vous aide à réduire le stress, car pour beaucoup de candidats, le stress est le premier facteur d’échec à l’examen pratique.